Nous avons déjà fait cette rando il y a exactement 20 ans, j'en avais un très bon souvenir et j'avais bien envie de la refaire. A l'époque j'étais juste enceinte de Raffaele mais la grossesse n'étant pas une maladie, j'étais en super forme et avais marché bien volontiers.

Donc direction les Alpes Grées N secteur que j'aime bien, c'est calme et on a une très belle vue, d'un côté sur le Mont Pourri et de l'autre sur le versant italien du massif du Mont-Blanc.

A Sainte Foy Tarentaise on prend la route en direction de Montvalezan et on bifurque au hameau de la Masure, on passe le hameau du Crot pour arriver à la Savonne au terminus de la route goudronnée.
On se gare sur le parking à Pierre Giret. Dans les Alpes il n'est pas rare de trouver des lieux dits avec des noms de personnes (Autre exemple Jean Poncet à La Morte en Isère).

Nous sommes accueillis par l'agent de la Police Rurale qui s'assure que nous soyons bien garés.
Police Rurale, ça fait plus classe que garde champêtre non ? ......Et pourtant c'est exactement la même chose ! 

Il fait frais (14 °C), ciel un peu couvert et du vent. Pour moi des conditions idéales pour marcher.

Conclusion : Une très belle sortie, dans un secteur beau et peu fréquenté. Quelques randonneurs jusqu'au lac et seul un couple rencontré sur le col.  Les conditions météo se sont améliorées dans la journée bien que le vent soit resté toujours très présent. D + 900 m et D - 900 m

Une première petite sortie pour "s'échauffer" et évaluer notre forme physique.

Le parcours : Tignes Val-Claret (2100 m), Col de Fresse (2576 m), Crêtes de Tovière (2700 m), Pas de Tovière (2267 m), Tignes le Lavachet (2100 m). D + 600 m, D - 600 m.

Il fait très beau mais assez frais un temps idéal pour marcher.

C'est une des randonnées les plus parcourues au départ de Tignes. Seule innovation pour nous le passage par les crêtes que l'on n'avait jamais fait, car pour le reste ce sont des sentiers que l'on connaît plus que bien mais qu'on refait toujours avec plaisir car sur ce parcours on bénéficie d'une vue panoramique à 360 ° sur les massifs environnants.

Col de Fresse (à gauche), il a un peu neigé dans la nuit.

Depuis les crêtes de Tovière, le col de la Leisse au centre et la Grande Motte à droite.

Val d'Isère, secteur Bellevarde, à gauche la Tsanteleina,
au milieu le vallon du Prariond et à droite Bellevarde. 

Sortie un peu plus loin qui a un double but, faire connaître le coeur de la Vanoise à Luigi et Raffaele (moi je connais depuis longtemps !), et rencontrer Guillaume, le jeune (futur pro de la montagne) que j'aide sur son site, qui travaille comme aide-gardien au refuge du col de la Vanoise pour 1 mois.

J'ai donc recherché une rando qui permet de conjuger tout cela. Voilà le programme :

Direction Pralogan en voiture, puis montée au refuge, nuit au refuge et ensuite randonnée sur le sentier balcon de la Vanoise, en direction de l'Arpont jusqu'aux lacs des Lozières, retour au refuge, et descente à Pralognan.

Le départ se fait du parking des Fontanettes (1600 m) un peu au dessus de Pralogan, station village,  
où je n'étais pas venue depuis longtemps mais qui n'a pas beaucoup changé !

Le début du sentier très agréable à l'ombre dans les bois le long d'une piste de ski.

Puis à la faveur d'une clairière, on découvre le paysage du vallon de la Glière avec
au milieu le pic acéré de l'Aiguille de la Vanoise (2797 m)

En haut du TS nous passons le très confortable refuge des Barmettes (2012 m)

Un peu plus haut, on découvre la face Sud de la Grande Casse (3855 m).
 

Avant d'arriver au lac des Vaches (2300 m) célèbre pour son gué en lauzes.

 

Arrivée au refuge (2512 m) vers 14 h.

Nous sommes arrivés assez tôt exprès. Guillaume nous rejoint à chaque courte pause de son emploi du temps très chargé (voir ici ) pour venir discuter et échanger avec nous.

Depuis déjà presque 3 ans je collabore sur son site Au Coeur de la Montagne  assurant relectures, corrections, revue de presse et gestion du site quand Guillaume est absent.

Joie immense et beaucoup d'émotions de part et d'autre.....

 

Si beaucoup de cm (!!!) et d'années ( il a l'âge de mes enfants) nous séparent, 
une même profonde passion pour la montagne nous réunit.
 Nous avons la même vision de la pratique des activités de montagne (chacun à son niveau !),
le plaisir et l'émotion passent avant la performance physique, et au fil du temps une très belle amitié complice s'est nouée. L'envie de passer du virtuel au réel s'est peu à peu imposée et après quelques rendez-vous manqués nous avons enfin réussi à nous rencontrer "en vrai".  

En pleine action !

 

Beaucoup de marmottes autour du refuge avec de nombreux petits.

 

Marmotte sur la pointe des pattes traversant une zone humide !

 

Puis le soir après le repas place aux bêtes à cornes. 

 

 

3 magnifiques bouquetins  

 

Coucher de soleil sur les dents de la Portetta. On se couche tôt en refuge....au dodo !  

Après une bonne nuit (oui, oui on peut bien dormir en refuge !) et un solide petit déj, 

départ vers 8 h pour notre rando. On passe le Lac Rond.

 

 

Puis les lacs du col de la Vanoise, avec au fond les pointes de Pierre Brune.  

 

Le vallon de la Leisse avec la Grande Motte dans les nuages, 

j'adore cette photo qui rend bien l'ambiance du lieu !

 

 

Le sentier change de direction, nous allons vers le vallon du Doron de Termignon.

 

 

Au milieu de la photo se trouve le refuge d'Entre Deux-Eaux où nous avons dormi en juillet 2009.

 

 

Plusieurs traversées d'éboulis. 

 

 

Une remontée et la Dent Parrachée ( 3697 m) à gauche
 et le Dôme de Chasseforêt (3586 m) à droite pointent à l'horizon.   

 

Vue d'ensemble des glaciers de la Vanoise.  

 

Un des lacs des Lozières, terminus de notre rando.

 

 

Nous parcourons donc de nouveau le sentier en sens inverse, les faces Sud de la Grande Casse
et de la Grande Motte se sont dégagées.

 

 

Une très belle rencontre petit chamois et sa maman (elle n'est pas sur la photo hélas !)

 

 

Et autre rencontre ce jeune bouquetin à quelques m du sentier, pas farouche du tout.

 

 

Hum, que c'est bon tout cet alpage fleuri !  

 

Après être repassés au refuge pour saluer Guillaume, nous décidons de partir entre 2 averses
par le sentier moins fréquenté du lac (asséché) des Assiettes. 

 

 

Vue panoramique sur l'Aiguille de la Vanoise et derrière la Grande Casse depuis le Moriond.

 

 

L'orage est là sur les Glières.

 

 

Accalmie, vue sur la descente vers le refuge des Barmettes et Pralognan.

Nous arriverons juste à temps au parking avant un vrai déluge !  

 

Voir taille réelle  

 

Site du refuge du Col de la Vanoise

Site de Pralognan

Site du Parc National de la Vanoise    

Journée tranquille avec une sortie courte et facile (à plat) dans un endroit insolite, l'ancienne carrière qui a servi pour la construction du barrage de Tignes.

Départ à la Daille à Val d'Isère. Au rond-point tourner vers le centre commercial de la Daille (pont) et se garer derrière les immeubles (parking).

Partir en longeant l'Isère soit rive gauche (bâtiment/parking, puis station d'épuration)
ou rive droite (route goudronnée qui mène au centre technique).

Le chemin commence après un pont et longe l'Isère sur rive gauche.

Après avoir traversé quelques éboulis, on aborde une partie plus escarpée équipée de mains courantes.

Le passage le plus exposé est très largement sécurisé.

On arrive à une intersection avec le chemin qui monte à Tignes par le Bois de la Laye et en restant sur la gauche on débouche sur la carrière, avec une magnifique vue sur tout le lac et le barrage.

Il est assez difficile de rendre la dimension par les photos c'est immense.

Pour donner la proportion je suis légèrement sur la gauche.
Les mauvaises langues diront que je suis petite mais quand même.......!

Au bout de la carrière le chemin se poursuit, plus étroit, des traces de goudrons affleurent
par endroits et on rencontre des ruines de bâtiments, et d'installations.

Nous rebroussons chemin à l'approche du ruisseau du Lac, avant le hameau des Combes.
On peut rejoindre Tignes en poursuivant.

Dernière vue "artistique " de la carrière avec des linaigrettes au premier plan.

En conclusion  une balade courte (2 h aller-retour sans se presser) dans une ambiance insolite, il faut penser que des centaines de personnes ont travaillé dans des conditions difficiles dans ces lieux.

ATTENTION : Balade à éviter par temps humide pour des raisons évidentes de sécurité (passage sécurisé des gorges de la Daille glissant).

Pour aller plus loin  :

Dossier du forum haute-tarentaise.net  sur le barrage de Tignes, sa construction, et les amémagements liés au barrage cliquer ici (nombreuses photos d'époque) 

Dossier Barrage de Tignes Wikipédia  

En ce dimanche matin frais et ensoleillé rendez-vous à Val d'Isère à 8 h (oui !!!) chez nos amis Jacques et Marie-Noëlle autour d'un café pour décider de la sortie du jour.

C'est assez vite décidé direction le vallon/cirque des Evettes en Haute-Maurienne. Une balade inédite pour nous, mais j'ai déjà eu des échos sur ce coin qui il paraît, est très joli. 

Le départ se fait du hameau de l'Ecot (2027 m) à Bonneval sur Arc.

La montée progressive est très agréable. 

Vue vers le fond de la vallée en direction des sources de l'Arc.
 

On aperçoit le village de Bonneval et la route qui monte au col de l'Iseran par lequel nous sommes arrivés.

Col des Evettes (2561 m) en vue qui marque l'entrée dans le cirque des Evettes.

Nous arrivons au refuge des Evettes (2590 m).

Vue d'ensemble du cirque avec au centre la Petite Ciamarella (3549 m) et à droite l'Albaron (3637 m),
qui dominent le glacier des Evettes.

 

Après le pique-nique, sieste pour certains, discussion pour d'autres, les sujets ne manquent pas...

Entre autres la très prochaine tentative de traversée des Alpes à pied de Jacques (voir ici ) mais aussi les potins de la coupe du monde de ski alpin. Jacques est bénévole sur de nombreuses manifestations sportives à Val d'Isère et CONSECRATION !!! va être chrono manuel au Critérium de la 1ère neige (épreuve de la Coupe du Monde de ski alpin) en décembre prochain.
 

Avant de redescendre crochet vers le pont romain (où il y a quand même pas mal de ciment !)

Nous redescendons par le long des gorges par "le sentier à John" (Durdilly, un anglais qui fût gardien du refuge dans les années 70, également artiste peintre il était assez connu dans le milieu de la montagne de cette époque).
Ce  sentier très escarpé est équipé de nombreuses mains courantes.Très fortement déconseillé par temps humide, ainsi qu'aux personnes sensibles au vertige ou enfants en bas âge.

La cascade et la gorge de la Reculaz vues du bas.

Le sentier débouche dans un vallon qui rejoint celui de l'Arc,
retour ensuite à plat jusqu'au point de départ le hameau de l'Ecot.

Conclusion : Une randonnée au dénivelé raisonnable (D+ 600 m et D- 600 m) très sympa, montée agréable, découverte du cirque des Evettes, un cadre absolument magnifique et une descente sportive où l'on ne s'ennuie pas, en bonne compagnie que demander de plus !

Les compte-rendus des  sorties sans lien seront rédigés un par un prochainement.

lundi 16 Col de Fresse-Toviere- Pas de Toviere 

 Mardi 17 Le chevril / Bergeries de la Davie / Nazonde

Mercredi 18  La Daille Val d'Isère Ancienne Carrière   

 Jeudi 19       Lac du Petit - Col du Tachuy

Vendredi 20 Courmayeur

Samedi 21 Le Lavachet / Croix de Combe Folle / Pas de Tovière

Dimanche 22  Cirque des Evettes

Lundi 23 Repos

Mardi 24 et mercredi 25    Pralogan Col de la Vanoise

Jeudi 26 Repos

Vendredi 27 Val d'Isère Tour du Mont Roup

Diane très prise par ses études est restée sur Milano plusieurs semaines, je suis donc allée lui rendre visite et pour décompresser un peu nous nous sommes accordées une journée de shopping/tourisme ce que nous n'avons jamais le temps de faire !

A priori Milan est une ville dynamique mais  assez austère, pas de "dolce vita", on est plus près de Zürich que de Rome !!! 
Une employée du consulat m'a dit un jour "Ici à Milano les gens ne pensent qu'à travailler !!!"...ce n'est pas faux, c'est la capitale économique de l'Italie on y trouve, la bourse, le siège de nombreuses grandes sociétés.
Mais pour qui la connaît un peu Milano, réserve un autre visage plus séduisant, au cours de cette année Diane a appris à connaître mieux cette ville et elle va me guider dans des quartiers moins connus. 

Nous allons tout faire à pied, parties de l'appartement de Diane, nous traversons un parc puis son université (Bocconi) pour rejoindre ensuite les navigli.

Dans ce quartier on trouve 3 canaux, de nombreuses boutiques d'antiquités, articles "vintage" , de créateurs de mode (modestes), et une infinité de restaurants (abordables). Le soir ce quartier est particulièrement animé.

Afficher Journée à Mi 25/05 sur une carte plus grande

Pour aller plus loin quelques liens :

Pinacoteca Brera

Milan wikipédia

Milan L'internaute

L'été dernier au cours d'une sortie à Colere voir ici un couple de randonneurs nous avait montré de loin le barrage écroulé de Gleno. Très intriguée par cette histoire méconnue, je me suis documentée sur le sujet et mis en projet une sortie rando dans cet endroit insolite.

A peine fini de construire à la première piena (mise en eaux totale) le 1er décembre 1923 le barrage de Gleno a cédé, dévastant les villages en aval. Officiellement il y a eu 360 morts certainement plus de 500 réellement. Cette tragédie est dûe à une accumulation d'erreurs tant de conception (projet transformé plusieurs fois au cours des travaux) que de construction (matériaux de mauvaise qualité, précipitation à l'achèvement des travaux).

Voici une photo prise cet hiver depuis le domaine skiable de Colere qui permet de voir tout le vallon.

L'accès se fait par le petit village de Pianezza  (1267 m) au dessus du bourg de Vilminore.

Beaucoup de monde il faut se garer en dessous du village au bord de la route.

 

 

Place de l'église le chemin part entre les maisons.

 

Puis continue dans les bois.

 

La région des pré-alpes bergamasques dites aussi Alpe Orobie est quadrillée d'une réseau de sentiers balisés,
oeuvre de la section de Bergamo du CAI (Club Alpino Italiano)

 

Les ruines du barrage apparaissent à la sortie du bois.

 

Le chemin se poursuit à plat jusqu'au barrage.

 

En face à gauche le massif de la Presolana, au milieu le domaine skiable de Colere
(on devine le tracé des pistes) dominé par le Monte Ferrante à droite.

 

A l'approche du barrage.

 

A 1534 m les ruines du barrage de près.
C'est la partie centrale qui a cédé car sans ancrage réel au sol.

La mauvaise qualité des diverses coulées de béton est visible à l'oeil nu et le ferraillage est sommaire.

 

Une petite retenue récente (reliée à une centrale hydro-électrique) forme un lac.

80 % des promeneurs s'arrêtent au bord du lac.

 

Nous continuons à remonter le vallon.
Le premier replat (1800 m) nous permet de découvrir le fond du vallon.

 

Pause pique-nique.

Nous avons entendu plusieurs marmottes et vu des trous mais pas une ne se montrera !

Aux jumelles j'ai observé 2 chamois très haut sur les névés.

 

Nous décidons de remonter encore un peu dans le vallon pour voir de plus près les cascades.

Ce n'est que dans cette partie haute de la vallée que nous avons pu voir quelques fleurs,
plus bas elles se font rares mais cela s'explique par la présence de bétail.

En voici quelques unes quand même !

 

 P

Pulsatille des Alpes jaune clair   

La même en blanc : Pulsatille blanche  

 

Une plante qui m'intrigue, pas encore fleurie difficile à identifier,
vues les feuilles famille des liliacées (lys, tulipes) sans doute.

 

Pause sur les ruines du refuge Bissolati 1950 m, ce sera notre point haut de la journée.

Nous rencontrons 2 randonneurs qui redescendent, on discute un peu ils ont dû rebrousser chemin
car plus haut le sentier est encore bien enneigé et il n'est pas possible d'atteindre le col de Belviso

sans matériel. 

Descente comme souvent en montagne par temps chaud le ciel se couvre de nuages élevés.

 

Depuis le barrage vue vers  le fond du vallon.

Un petit monument récent à la mémoire des victimes de la tragédie.

Beaucoup de monde et de bruit (!!!) au bord du lac.

 

Détail du monument : Sabato 1 - 12 - 1923 Ore 7.15 Il crollo

Samedi 1er décembre 1923 7 heures 15 Rupture.

 

Dernière vue sur la Presolana

 

Conclusion, une très belle journée, belle parenthèse dans un emploi du temps chargé.

Nous avons fait une rando avec un dénivelé (D+ 700 m) tout à fait honorable vue notre condition physique assez moyenne (juste quelques sorties vélo dans les jambes).

Découverte d'un site vraiment insolite et d'une très belle vallée à l'ambiance haute montagne alors qu'on est "que" dans les préalpes bergamasques. Comme ce n'est pas trop loin de chez nous (2 h de route) j'aimerai bien y revenir pour aller plus haut mais plutôt à l'automne pour avoir moins chaud.

 

Si cela ne tenait qu'à moi je partirai bien tous les dimanches mais pour des tas de raisons ce n'est pas possible !!

Certes il y a plus grave comme info mais c'est assez insolite, comme les hérissons en plaine les marmottes peuvent être victimes de la route sur le site de Radio Val d'Isère on peut lire en date du 11/06/2012 :

 Les marmottes pullulent actuellement à Val d'Isère. Elles sont très nombreuses à vivre le long de la route du Col de l'iseran, ce qui n'est pas sans danger. Les avalins l’appelle souvent « La route des Marmottes ». En début d'après midi, l'une d'entre elle a été percutée par un véhicule, la tuant sur le coup. Il n'est pas rare de voir surgir ces animaux traversant la route. Cela peut présenter un réel danger pour les cyclistes descendant rapidement la route. C'est pourquoi, la plus grande prudence est recommandée à tous les usagers à ce niveau.

Et ce n'est pas un blague (comme le 1er avril) photo à l'appui, pauvre bête !

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Vous l’avez certainement vu et entendu sur les médias français un important tremblement de terre a eu lieu mardi 29 mai après celui qui avait déjà touché la région le 20 mai. Les localités les plus touchées par les dégâts se trouvent en province de Reggio nell’Emilia, Modena, Ferrara et Bologna. Le séisme a été ressenti dans tout le nord de l’Italie de Torino à la frontière avec la Slovénie.

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La tour de l'horloge de Finale Emilia  

 

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Vie quotidienne pour les terremotati (victimes du tremblement de terre)  

 

Voir taille réelle Une usine détruite

 

 
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Les formes de parmigiano tombées et abimées par le séisme