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La Saintonge est ma région natale, en effet je suis née à Saintes, mais je n'y ai vécu que de l'âge de 0 à 2 ans.
Fin janvier, je suis allée passer quelques jours chez mes parents qui habitent près de Bordeaux.
La météo n'était pas vraiment bonne mais nous avons profité de la journée la moins pire (je vous laisse imaginer les autres jours !) pour faire un petit tour près de l'Océan. Souvent nous allons sur la côte en Gironde à Lacanau, Carcans ou Hourtin, alors cette fois-ci pour changer direction l'estuaire de la Gironde, Royan puis la Grande Côte.Je ne suis pas particulièrement attirée par la mer et l'eau n'est pas vraiment mon élément, ou alors pour ses états solides (neige et glace) mais j'aime bien y aller comme ça juste pour la journée, et en plein hiver c'est particulièrement sauvage.
Première pause à Talmont sur Gironde petit village situé sur un promontoire au bord de l'estuaire de la Gironde et célèbre pour son église romane.
L'église est bâtie au bord de l'eau presque en dehors du village.
Une maison qui a attiré notre attention par son nom, La Maison de Diane. Pourquoi ? Tout simplement ma fille se prénomme Diane ! 
Les rues désertes du village de Talmont sur Gironde 
Accès à un carrelet, ces typiques cabanes de pêche équipées d'un filet carré. 
C'est ici que l'estuaire est le plus large 12 km, en face c'est le Médoc. Après une pause sans interêt sous la pluie battante à Royan nous arrivons à la Grande Côte, une des plus belles plages de la région, sauvage mais moins dangereuse que celles de la côte de l'Océan. 
Des blockhaus indestructibles se trouvent sur la plage et dans les dunes toutes proches. S'il faisait beau on pourrait voir au loin le phare de Cordouan, le" Versailles" des phares français
qui marque l'entrée de l'estuaire.
A cette date pas grand monde sur la plage seuls quelques rares promeneurs avec des chiens, 
Et quelques petits oiseaux qui courrent à toute vitesse à l'arrivée de la marée ! Comme cela cette journée peut paraître un peu "plate "mais nous avons un but très précis ..... 
Que voilà ! Cela valait bien le voyage !
Pour aller plus loin :
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Après 2 jours de mauvais temps avec de la neige même en plaine (25 cm chez nous), nous nous libérons de nos obligations professionnelles et associatives en partons pour une sortie de ski en SEMAINE......................... le super bon plan !
Partis dans le brouillard assez épais, ce n'est qu'après Brescia que nous trouvons le soleil, les sommets sont plâtrés de neige fraîche, cela s'annonce bien !
Au parking affluence limitée, presque tout le monde est monté pour la journée, beaucoup ont du prendre un jour de congé pour profiter des conditions neige et météo.
La clientèle composée de passionnés, c'est un peu malheureux à dire, est essentiellement masculine,
10 à 15 % de femmes pas plus !
Forfait journalier à 22 €.(A noter que le week-end c'est 30 €)
Pendant la montée du 1er télésiège Carbonera-Polzone
Les sapins sont chargés de neige tombée la veille.
Toutes les pistes sont ouvertes, ici on peut voir celle qui redescend jusqu'au village.
Du haut des pistes à 2200 m panorama sur le Val di Scalve et le massif de l'Adamello-Brenta.
Une autre vue, en face la vallon de Gleno voir ici.
Le massif de la Présolana, avec devant le chalet l'Aquila. Comme il est fermé, tous les skieurs se retrouvent à l'auberge Cima Bianca un peu plus bas à l'heure du repas où on mange très bien et pas cher !
(plat chaud + dessert + café = 25 € pour 2 !)
Vue du côté de la province de Bergamo Il fait très beau, à peine un peu de vent sur le haut,
pas vraiment froid bien que les températures restent négatives,
très bien couverte je n'ai pas senti le froid de la journée !
Avec une telle neige on a l'impression de savoir super bien skier !!!! Mention spéciale pour les pistes Vilminore et Nera, où je me régale : de la pente (je ne crains pas... au contraire !), une piste lisse, la neige douce, le top !
A part quelques touristes polonais en séjour au village
tous les skieurs sont montés pour la journée.
il y a beaucoup de riders (très bien équipés pour la plupart : ARVA, protections tortues)
qui évoluent hors-pistes du coup peu de monde sur les pistes.
Mauvaise chute pour un snowboarder, nous sommes témoins d'un secours sur pistes.
Les secours sont assurés par des volontaires de l'association de secourisme Corpo Volontari Presolana.
C'est une association de type Pubblica Assistenza comme celle que gère Luigi, mon mari.
La motoneige a une corne "pinpon" comme celle d'une ambulance.
Dans l'après midi le soleil vient réchauffer l'austère et immense paroi de la Presolana. Cette photo est trompeuse,
il est environ 15 h 30 et la plupart des pistes sont déjà à l'ombre ! Cette journée est sans aucun doute à ce jour la meilleure de la saison en cours. J'aime vraiment beaucoup cet endroit qui a l'avantage d'être un des plus près pour nous (160 km, 2 h 15 de route) et j'y reviens toujours avec grand plaisir, tant pour le domaine skiable, que pour l'ambiance montagne très authentique à mille lieues de la frime de certaines grandes stations.
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Plusieurs voyages récents en avion m'ont permis de faire quelques photos des Alpes vues du ciel..En partant de Milan étant au pied des Alpes, on survole la chaîne de montagne si on se dirige vers l'Ouest, le Nord ou l'Est.
Si le ciel est dégagé de tout nuage et voile de pollution (hélas souvent présente au dessus de l'agglomération milanaise) c'est un spectacle dont on ne se lasse pas.Depuis peu on ne choisit plus où s'assoir ches Easyjet mais le hasard a bien fait les choses et je me suis retrouvée à chaque vol côté hublot, certes près des ailes mais cela permet de faire des photos, il suffit de les recadrer un peu ensuite !
Vol Milano Malpensa-Copenhague 20 novembre 2012
Le lac de Côme avec la ville de LeccoLe lac de Côme avec le célèbre promontoire de BellagioLa vallée de la ValtellinaAu dessus de la Suisse massif des Grisons
Voir taille réelle C'est la fin des Alpes, au dessus du Sud de l'Allemagne. Les nappes blanches sont des nuages épais qui envahissent le fond des vallées.Vol Milano Malpensa-Bordeaux 27 janvier 2013
Ayant déjà pris cette ligne, je sais qu'elle passe au dessus de la Savoie, je suis donc attentive.
Pour se repérer en plaine c'est facile, il y a les fleuves et les rivières, les villes, les autoroutes...
En montagne c'est plus difficile, il faut avoir des sommets ou des vallées connues comme points de référence.
Le massif du Mont-Blanc est couvert et cela ne m'aide pas !!!!!
Mais tout d'un coup il y a moins de nuages et grâce à mes connaissances des lieux je distingue une vallée qui ressemblent fort à la Haute-Maurienne. En effet j'identifie Bessans et sa plaine, puis Bonneval sur Arc.
Un sommet très caractéristique, l'Aiguille de la Grande Sassière en Haute Tarentaise va ensuite me permettre de me situer assez précisément.Pour vous faire comprendre comment j'ai procédé, pour la première photo je vous montre 3 photos :
1 La photo telle qu'elle a éte priseLa Grande Sassière est la pyramide bien visible sous l'aile.2 La même photo recadrée pour éliminer le plus possible l'aile3 La photo avec légendeLa Haute Tarentaise (Tignes et Val d'Isère)Haute Tarentaise en détailLa Grande CasseLa Grande Casse en détailChampagny en VanoiseLa TarentaiseLe Lac du Bourget et Aix les Bains
Voir taille réelle Là c'est presque où on habitait en France. Belley est la ville natale de mes enfants. On distingue bien en bas de la photo le changment de direction du Rhône aux "3 D"
là où 3 départements (Ain, Isère et Savoie) se touchent.Vol Bordeaux-Milano Malpensa 3 février 2013
Beaucoup de nuages puis un ciel dégagé au dessus de la vallée du Rhône, puis le Vercors en enfin l'Oisans. Je suis particulièrment étonnée de la qualité (bonne !) de certaines photos.
J'ai reconnu immédiatement la Barre des Ecrins ce qui m'a permis de me repérer.
J'ai utilisé une carte pour identifier certains sommets.
Voir taille réelle
OisansLa Barre des EcrinsLa Barre des Ecrins en détailLe BriançonnaisBriançonEt voilà les Alpes sont traversées c'est la plaine du Pô, raplapla ici dans le Piemont
en direction de Cuneo avec les Alpes du Sud au fond.
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Nous profitons des vacances pour faire une sortie de ski à 4 la famille au grand complet (ce qui est rare !) à La Paganella, beau domaine skiable facilement accessible et équipé de nombreuses remontées rapides (TC et TSD), très beau temps, pas froid, de la neige pas en quantité industrielle mais suffisamment pour skier. Forfait journalier à 38 €. La journée ne va pas se passer comme prévue, la neige est très dure avec un fond glacé (certainement dû à la neige de culture très utilisée dans cette station) et il y a beaucoup de monde sur les pistes. Après quelques descentes Raffaele fait une mauvaise chute, il a très mal au poignet droit. . Petit tour au cabinet médical du village d'Andalo, rassurant ce ne devrait pas être bien grave, mais pour lui la journée de ski est finie. Nous avons donc continué à skier à 3, Raffaele restant au chaud dans un bar en bas des pistes. La douleur s'estompe et une radio faite le soir même à l'hôpital près de chez nous confirmera rien de cassé ouf..! Nous arrêtons de skier assez tôt, car le plaisir n'y est que très moyennement, outre l'incident, il faut reconnaître que cette neige très dure est difficile et fatigante à skier.
Au centre le sommet de La Paganella (2125 m) qui est aussi le haut des pistes.
Le très beau massif de La Brenta fait face au domaine skiable.
Plus au loin l'altipiano (plateau) de La Paganella.
Du sommet des pistes on a une vue plongeante sur le lac de Garde d'un côté,
Et de l'autre sur la vallée de l'Adige en direction de Bolzano et les Dolomites au fond à droite.Bon ce ne fût pas du grand ski mais on ne va pas se plaindre, finalement plus de peur que de mal
pour Raffa et une belle journée ensoleillée en montagne !
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Première sortie de ski à la journée de la saison à Colere, petite station en province de Bergamo, où nous sommes déjà venus plusieurs fois.(voir, ici, ici et là). A mille lieues de la station de ski "moderne", c'est un endroit authentique disposant de 3 TS certes vieillots et lents mais accédant à de très belles pistes. Grâce à son expostion Nord le domaine skiable bénéficie d'un bon enneigement. Forfait journalier à 30 € comprenant assurance et navette parking/TS. Beaucoup de monde aux parkings mais comme il y a de nombreux skieurs de rando, de raquettes et de piétons, nous ne ferons que très peu de queue aux remontées, et surtout le matin car l'après-midi comme partout en Italie il y a beaucoup moins d'affluence sur les pistes.
Il fait très beau, pas froid, et pas un brin de vent, des conditions idéales !
Le panorama en haut du domaine offre une vision sur toute la région jusqu'au massif de l'Adamello.
Le Monte Ferrante (2427 m) qui domine les pistes est "assailli " de skieurs de rando
ainsi que les sommets plus lointains.
De l'autre côté, l'impressionnante paroi du massif de la Présolana (2521 m).
On trouve 3 auberges sur le domaine dont le "Chalet Aquila" en haut des pistes.
Ambiance survoltée, on danse sur les tables en terrasse !
Vue sur les Pré-alpes bergamasques appelées Alpe Orobie Cette photo me plaît beaucoup,
elle sera la base de ma carte de voeux 2013 !
On est fin décembre......et dès 15 h tout le domaine se retrouve à l'ombre !
La neige qui est déjà dure sur les pistes laisse apparaître quelques zones plus glacées.
Petite séance photo pour renouveler mon portrait sur différents sites et forums !
Nous arrêtons de skier vers 16 h et la redescente au village se fait en TS
car le bas du domaine insuffisamment enneigé est fermé.
Vue aérienne du domaine de Colere. Les TS sont les points verts 1, 2 et 3.
Malgré 2 petits incidents (skis abîmés par des cailloux pour Luigi et perte d'un gant pour moi
heureusement après avoir fini de skier) ce fût une très belle journée pour clore (ou presque) l'année 2012 !
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Ouverture de la saison de ski à Valtournenche en Val d'Aoste pour nous comme les années précédentes.
Le calendrier ne permet pas de pont cette année car le 8 décembre férié en Italie est un samedi, mais Raffaele étudiant à Milan ayant un jour de vacances le 7/12 (la Saint Ambrogio, le saint patron de la ville), nous disposons de 3 jours !Le premier jour vendredi 7/12 ne fût pas un grand jour de ski, le mauvais temps était annoncé et nous l'avons eu.Temps neigeux et couvert toute la journée, peu de visibilité, assez froid (-9°C à 2500 m) mais sans vent. Presque tout le domaine est ouvert nous en profitons pour aller sur le domaine de Cervinia où la visibilité est un poil meilleure. On ne se bouscule pas sur les pistes …. lassés par le manque de visibilité nous arrêtons assez tôt.
L'ovovia (les oeufs) au départ de Valtournenche .
Le panneau lumineux indique presque toutes les remontées ouvertes malgré le mauvais temps. Samedi 8/12 le soleil est bien présent dès le matin mais également le vent qui est une vraie spécialité locale que nous avons déjà eu l'occasion de "tester" (!). La liaison avec Cervinia restera fermée toute la journée, nous nous contenterons donc du domaine, somme toute très correct, de Valtournenche.
Le vent va forcir au cours de la journée, renforçant la sensation de froid et provoquant la fermeture de toutes les remontées vers 15 h 30. Fréquentation modérée avec présence des ski-clubs locaux.
Redémarrage après la pause repas.
Il faut un peu lutter contre le vent quand il vient de face !
Le vent tourbillonne et le paysage change à chaque instant, c'est très beau !Dimanche 9/12 très beau temps le matin avec toujours la présence de notre ami Eole qui empêchera l'ouverture de la liaison avec Cervinia, Nous resterons donc encore sur Valtournenche. En cours de journée le vent faiblit et quelques nuages arrivent, du coup il fait moins froid. Ce sera notre meilleure journée de ski avec une neige très douce agréable à skier. C'est dimanche donc un peu plus de monde mais jamais de queue aux remontées.
Ciel dégagé le matin tôt. Le sommet en pointe légèrement sur la gauche est la Pointe Tersiva,nom de l'hôtel où nous logeons.
En contrebas le village de Valtournenche.
Lieu-dit Salette 2245 m où arrive la télécabine.Et maintenant je vous réserve une petite surprise, pour changer un peu, voici un petit montage avec des parties filmées. La qualité de l'image est très moyenne (vidéo à l'APN), le son original a été laissé volontairement en plus de la musique pour vous donner une idée du vent.On reconnait Raffaele avec sa veste verte et son casque et la skieuse en anorak rouge c'est moi !!!Je remercie Luigi pour les prises de vues (glagla les doigts !)
et Raffaele qui m'a largement aidée à la réalisation de ce montage.
Le plan des pistes.
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Bienvenue à København, Copenhague en français, capitale du Danemark où nous sommes allés rendre visite à notre fille Diane qui y est pour 4 mois en échange universitaire à la CBS (Copenhagen Business School).
Arrivés en fin d'après-midi, nous passons la soirée dans le centre de la ville déjà décoré pour Noël.Le lendemain Diane nous a préparé une visite à pied du centre ville, qui va nous permettre de voir la plupart des monunents importants de la ville. Notre hôtel bien placé est près du centre.
Première étape sur Rådhuspladsen, la place de l'hôtel de ville.
Le Palace Hotel est un des plus anciens de la ville.
Une borne qui représente le km 0 du pays, les principales localités du pays
sont indiquées avec la distance sur les 4 faces de la borne.
Fontaine aux dragons.
La Kongelige Bibliotek (la bibliothèque royale) composée de 2 bâtiments,
un ancien style bibliothèque "Harry Potter" et un moderne nommé Den Sorte Diamant (le diamant noir),
unis par une passerelle interne.
En face le quartier de Christianshavn où de nombreux docks ont été transformés en lofts ou bureaux.On y trouve aussi Christiana haut lieu des hippies et alternatifs dans les années 70/80
aujourd'hui plus calme. Le parking à vélo de la bibliothèque. La ville est quadrillée de 400 km de pistes cyclables. On considère que 55 % des danois utilisent le vélo comme moyen de transport de façon quotidienne.
A l'intérieur de la bibliothèque, de nombreuses salles permettent d'y étudier en toute tranquilité,
Diane y vient de temps en temps.
La façade de la partie plus ancienne de la bibliothèque.
Une statue de Søren Kierkegaard, célèbre philosophe danois.
Dans le même quartier se trouve Christiansborgslot (Palais de Christianborg)
qui abrite le folketinget (le parlement danois).
Dans la cour un véhicule des services royaux.
Le surprenant clocher de Børsen l'ancien bâtiment de la bourse,
représentant les queues de 4 dragons enlacées.
Strøget, la rue centrale première rue piétonne au monde.
Tout au long de nos visites nous avons rencontré de nombreux enfants accompagnés de leurs enseignants.Les petits (maternelle) sont systématiquement vêtus de combinaisons style combi de ski.
Les enfants sont incités à être autonomes dès leur plus jeune âge.
Rue piétonne Køgmagergade et la tour ronde Rundetårn.
Il n'y a pas d'escalier mais un plan incliné en spirale pour monter à la terrasse de la tour
qui est un observatoire astronomique datant de 1642 et toujours en fonctionnement.
Le Kyssebanken (le banc des bisous) avec vue panoramique sur la ville.
Diverses vues du centre, hélas le temps très couvert ne permet pas de voir très loin !
La vitrine d'une boulangerie. Nombreux pains presque tous bruns ou noirs
et de nombreuses viennoiseries aromatisées à la cannelle et autres épices.
Un surprenante collection de nichoirs colorés,
on ne sait pas s'ils servent vraiment ou s'il s'agit de symboles.
Le Kongelige Teater (théâtre royal), un petit air de Palais Garnier.
On remarque des chantiers un peu partout en ville,
une ligne de métro circulaire de 17 stations est en cours de construction (fin des travaux en 2018).
Le quartier de Nyhavn, très touristique et branché, toutes les maisons sont des restaurants
et un petit marché de Noël est installé sur les quais.
Nous voici maintenant devant Skuespilhuset, une salle de concert/spectacle.
En face l'Operaen, l'Opéra.
Mère et fille !
Photo rarissime, Luigi et moi !
Amalienborgslot, le palais royal où réside la reine.
Le drapeau indique que la reine est présente. La reine et la famille royale sont très aimés et respectés.
Ce sont des gens assez simples, proches de la population.
Un garde royal.
Pur hasard, il est midi, nous assistons à la relève de la garde, qui plus est, en musique !
Une mamie ou nounou, presque toutes les femmes travaillent. Les poussettes sont assez surprenantes !
Une étape incontournable, il fallait bien aller la voir cette lille havfrue (petite sirène) !
Pause repas bien méritée ( le brouillard a cédé la place à la pluie !) au Café Petersborg, un restaurant très ancien qui propose des spécialités danoises. Hareng mariné, saumon, poisson frit, boulettes de viande, jambon, rosbeef, accompagnés de diverses sauces et crudités. On confectionne ses propres canapés (Smørrebrød) sur du pain blanc ou noir. L'après-midi nous optons pour la visite du musée de la ville de Copenhague, histoire de rester au chaud, puis finssons la journée chez Diane, où nous faisons la connaissance de ses colocs.
En allant chez Diane. Il est 17 h et de nombreux joggeurs courrent sur les berges des lacs artificiels
qui se trouvent dans le centre de la ville.
Pour la journée suivante nous prenons la Copenhagen Card, qui pour l'équivalent de 35 €/24 h,
donne accès à tous les transports et les momunents/musées de la ville et la région. Nous prenons un train de banlieue (S-Tog) qui nous mène à Hillerød une petite ville à 30 km de Copenhague où se trouve Frederiksborgslot, un magnifique château considéré comme le Versailles du Nord.
Arrivée au château.
Entrée
La cours intérieure. Le château abrite le musée d'histoire nationale (nombreux tableaux)
La salle de la Rose
La chapelle à la décoration baroque particulièrement riche.
De nombreux couronnements et mariages royaux y ont eu lieu.
Le grand hall orné de tableaux des représentants de la famille royale.
Le roi Christian IV très populaire et qui a fait beaucoup pour le pays.
Le centre de la petite ville de Hillerød.
Nous rentrons ensuite sur Copenhague et après une rapide pause sandwich
....miracle une éclaircie nous permet de profiter de la ville sous un rayon de soleil.
Nous nous dirigeons vers Rosenborgslot, le château de Rosenborg
qui abrite le trésor et les couronnes du royaume.
Pas de photo mais je peux vous dire que c'est très beau !
Puis nous prenons le métro pour changer de quartier et aller à Frederiksberg où se trouve la CBS,
l'université de Diane. Petite visite à l'intérieur où nous faisons connaissance de Bea,
un étudiante italienne qui était en classe avec Diane à Milan l'année dernière.
Il est 16 h la nuit tombe, nous faisons une pause à l'appartement de Diane.
L'immeuble (bleu au centre de la photo) est composé d' appartements en colocation
avec chacun 5 chambres, une cuisine avec coin salon et 2 salles de bains.
Nous finissons la journée à Tivoli, parc d'attraction très ancien situé au centre de la ville près de la gare
et qui est paré de nombreuses illuminations pour la période de Noël.
Un petit marché de Noël se trouve à l'entrée du parc.
Des installations provisoires sur le thème "Noël russe"
L'ensemble des bâtiments est assez "kitsch" et certainement plus joli de nuit que de jour. Les manèges n'étant pas notre fort, nous laissons Tivoli pour passer une dernière soirée avec Diane dans un restaurant près de notre hôtel.Quelques données et impressions personnelles pour finir :Le Danemark est un petit pays (5, 5 millions d'habitants) qui fait partie de la CEE mais pas de la zone euro. La monnaie est la couronne danoise (DKK) 1 € = 7, 46 DKK. C'est un pays à haut niveau de vie, il faut consiérer que tout y est 20 à 30 % plus cher qu'en France ou en Italie. La TVA est à 25 %.Le modèle social est celui de l'état providence, les gens paient beaucoup d'impôts mais il y a en contrepartie beaucoup de retour.
Il y a un grand sens de la civilité et de l'égalité, les gens sont aimables et simples. La plupart des femmes travaillent, les enfants et les jeunes ont une place de choix dans la société.Tout est fait pour rendre la vie quotidienne plus agréable et plus facile, pour nous français et encore plus italiens (!) c'est assez difficile à imaginer....L'école, l'université, les bibliothèques et l'hôpital sont gratuits. Les jeunes sont encouragés à suivre des études supérieures avec des bourses d'études. Dès leur majorité la plupart des jeunes quittent le domicile familial, des aides (800 € par mois) leurs permettent de vivre sous leur propre toit souvent en colocation.Les transports (bus, train, métro) sont récents, ponctuels et propres.Il y a une vrai culture du vélo, individuel ou "cargo" avec bac pour transporter des marchandises...ou des personnes !Ayant peu de richesses naturelles (essentiellement agricoles) le pays s'est toujours tourné vers l'extérieur,
et Copenhague grâce à sa position stratégique à l'entrée de la mer Baltique est une capitale commerciale depuis des siècles. D'ailleurs Copenhague signifie littéralement le port des commerçants. Le secteur tertiaire est très développé.Tout le monde parle anglais des enfants aux personnes âgées en passant par les immigrés, à la télé et au cinéma, les films et séries ne sont pas doublées mais juste sous-titrés en danois.Quelques constations en vrac :Avec une bonne base d'anglais mais surtout d'allemand (la langue la plus proche) on comprend pas mal de choses écrites en danois, par contre à l'oral c'est incompréhensible !Il y a 3 lettres en plus, ø (se lit eu), å (se lit o) et æ (se lit ai),et y se lit u.Apparemment les gens ont des enfants assez jeunes. Nous avons vu de nombreux jeunes papas avec des enfants en bas âge. Il y en avait même un qui faisait son jogging avec la poussette !D'une façon générale les gens sont habillés de façon assez simple, le confort l'emporte sur l'élégance,
ce qui s'impose un peu quand on se déplace à vélo. Les femmes restent assez naturelles, peu maquillées, pas sophistiquées.Si quelques personnes sont un peu fortes, nous n'avons pas rencontré une seule personne obèse, signe d'une société riche avec une alimentation correcte et une bonne hygiène de vie.On ne ressent pas la crise économique comme en France ou en Italie, pour preuve la présence de nombreux chantiers dans la ville de Copenhague ne dit-on pas que quand le bâtiment va, tout va ....En cette période de d'automne, proche des fêtes de Nöel, on peut apprécier le mode de vie "hyggelig".Mot absolument intraduisible ( !!!) qui suggère un certain confort, comme manger des sucreries ou pâtisseries accompagnées d'un bon verre, lové d'un plaid au fond d'un canapé en compagnie d'amis avec de nombreuses petites bougies dans la pièce.Il y a des bougies un peu partout d'ailleurs, sur les tables des cafés et restaurants, dans les couloirs de l'hôtel, dans les appartements que l'on voit éclairés le soir, car il n'y a pas de volets et peu de rideaux aux fenêtres.Bon tout n'est pas rose non plus, le pays parfait n'existe pas...il y a par exemple comme dans de nombreux pays du Nord, un vrai problème avec la consommation d'alcool inconsidérée certains soirs avec tous les excès que cela peut entraîner......Cela reste cependant un autre monde pour nous et ce petit séjour fût court mais très agréable, le plaisir de se voir bien sûr et de visiter une très belle ville.Pour aller plus loin :Wikipédia Copenhague nombreux liens sur les monuments et lieux visitésMind Le Gap Danois un blog qui une mine d'infos.kids.denmark un petit site fait par un ado très bien fait.visitdenmark Site officiel du tourisme danois en françaisvisitcopenhagen Site officiel du tourisme à Copenhague en anglais.
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Depuis la région où j'habite on peut apercevoir l'arc alpin par temps clair. Cela se produit souvent après une période de pluie. En général on voit bien les sommets les plus proches c'est à dire au delà de Brescia et Bergamo.
Par contre il est très rare, on peut même dire exceptionnel de voir beaucoup plus loin. Une ou deux fois par an on peut ainsi distinguer le massif du Mont Rose et les Alpes Pennines et parfois (encore plus rare) le massif du Mont-Blanc.
Hier journée particulièrement claire et dégagée, une bonne partie des Alpes fraîchement enneigées était visible. Une silhouette de montagne se profilait aussi dans l'axe de la Via Emilia. Ayant un peu de temps, je fonçais vers les collines à 10 km environ de chez moi pour prendre un peu de hauteur afin de mieux visualiser le tout et surtout ....pour faire des photos !
Les voilà :
Depuis le hameau de Travazzanovous ne voyez pas grand chose ??? Normal c'est loin (environ 200 km) !Du même endroit au zoom, on devine un gros sommetLa même photo recadrée, et retouchée. Tout apparaît !La plaine du Pô et les Alpes plus "proches"Même point de vue au zoomRetour vers la maison, ce que l'on peut voir de la plaineMême point de vue au zoom, le village est Roveleto di Cadeo, centre de la commune où j'habite.Aujourd'hui la chape de brume grise habituelle à cette saison a de nouveau recouvert la plaine !
Afficher PanoramaPour mieux vous situer les choses, cliquer sur le lien bleu "Panorama" ci dessus la carte apparaîtra plus grande avec des repères.
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Nous voici partis pour 3 jours en Maremma, c'est à dire la côte Sud de la Toscane.
Nous profitons (enfin !) d'une box offerte à Noël, 2 nuits en agriturismo (chambre d'hôte à la ferme) à choisir parmi une liste. Cette forme d'hébergement née dans cette région connaît un grand succès.
Le choix de cette région s'est fait par rapport à la saison et au fait que nous ne connaissons ni l'un ni l'autre ce coin d'Italie.
Départ dans le brouillard de chez nous, nous rejoignons la côte méditerranéenne par l'autoroute de la Cisa. Nous passsons, La Spezia, Pisa, Livorno. Premier arrêt touristique à Piombino. Au large vue sur l'île d'Elbe.
Rue principale de Piombino
Au bout d'une ruelle ....la mer !
Piombino. Vue d'ensemble de la vieille ville.
Piombino. Une fontaine très ancienne avec des bouches en forme de poissons.
Nous reprenons la route ensuite pour Grosseto, petite ville proche de notre point de chute.
Le centre ville est petit mais agréable, avec une jolie place centrale.
Grosseto la cathédrale San Lorenzo
Un très beau cadran solaire orne un des côtés de la cathédrale.
Place centrale avec le Palazzo Aldobrandeschi siège de la province.Enfin nous arrivons à l'agriturismo Il Melograno (La grenade) au cœur de la campagne. Accueil chaleureux du propriétaire. Le soir repas très copieux et quasi gastronomique avec de nombreuses spécialités et du vin local.
Le lendemain matin, une fois la brume matinale levée, nous partons sous un ciel clair et ensoleillé vers Talamone, petit village situé sur un promontoire.
Talamone, la Méditerranée mérite bien son nom de grande bleue !
Talamone. Des escaliers mènent à la mer dont on peut remarquer la limpidité.Ensuite nous nous dirigeons vers le promontoire de l'Argentario. Premier arrêt à Porto Santo Stefano,
la "ville" de l'île. De là partent les ferries pour la tristement célèbre île du Giglio.
Porto Santo Stefano
Ruelle de la vieille ville de Porto Santo Stefano .
On remarque un mode de vie assez méridional assez différent du nôtre.Nous repartons par la route panoramique pour effectuer le tour complet de la presqu'île.
Argentario Cala Grande
Au loin on distingue l'île du Giglio et on devine le paquebot couché.A un certain point nous continuons sur une route annoncée privée, en mauvais état. C'est effectivement le cas, il y a même 4 km non goudronnés mais en allant tout doucement cela nous permet de voir une côte très sauvage avec de magnifiques points de vue, nous passons devant de nombreuses propriétés assez isolées, certaines visiblement très luxueuses.
Une des propriétés .
Le soir le propriétaire de l'agriturismo nous expliquera que c'est volontairement que cette route n'est pas mieux entretenue, les riverains très VIP ayant le soucis de rester tranquilles !!!! Ceci étant dit l'accès à ces villas se fait essentiellement par la mer (avec ascenseur dans les rochers) ou carrément par hélico !
Nous arrivons ensuite à Porto Ercole, petit port de pêche et de plaisance.
Porto Ercole, quartier ancienLe ciel se couvre considérablement, comme nous avons encore du temps nous décidons de nous éloigner de la mer pour aller vers les collines. Nous retrouvons les paysages typiques de la Toscane, oliviers, vignes, cyprès, villages perchés sur le haut des collines.
Pause à Magliano in Toscana, où l'on trouve de très beaux murs entourant la vieille ville.
Eglise de Magliano in Toscana
Magliano In Toscana
Porte du bourg de Magliano in Toscana
Beau point de vue typiquement toscan
Oliviers, cyprès et collines et au fond la silhouette de l'Argentario
Nous nous dirigeons ensuite vers Scansano.
Quelques gouttes perturbent notre visite de ce bourg, connu pour son vin le morellino di Scansano.
Nous rentrons à notre hébergement par de nombreuses petites routes qui permettent de voir tous les aspects de la campagne toscane.Le lendemain le temps est incertain, il a plu dans la nuit. Nous changeons donc de programme. Nous renonçons à la randonnée dans le Parc Naturel de la Maremma tout proche et prenons la route en direction d'une autre partie de la Toscane.
Premier arrêt à Bolgheri. La route qui y mène est tout aussi célèbre que ce petit village où le poète
Carducci (19 ème siècle) passa une partie de son enfance.
Les 5 km sont bordés de plus de 2000 cyprès.Ensuite nous nous dirigeons vers Volterra en traversant la campagne toscane.
C'est l'Italie de carte postale qui plaît beaucoup aux étrangers en particuliers les Anglo-saxons.
Un des nombreux villages rencontrés sur notre route.
Vue depuis Volterra.Quelques km avant Volterra le paysage change complètement,les oliviers et les vignes
laissant place à des collines labourées, ambiance un peu lunaire.Volterra est située comme la plupart des localités toscanes en haut d'une colline.
L'architecture est typique de style florentin.
Palazzo dei Priori (aujourd'hui mairie)
Piazza dei Priori
Volterra Maisons tours
Il y a aussi les ruines d'un théâtre antiqueSi jusqu'ici nous avons été assez tranquilles avec une forte impression d'être hors-saison, ici les touristes sont bien présents avec tout ce qui va avec : commerces de "souvenirs", de vin et d'huile d'olive, nombreux restaurants....une impression que l'on exploite au maximum le filon...On entend plus parler allemand et anglais qu'italien d'ailleurs !
Visite de la ville, pause repas, puis nous décidons de repartir, il nous reste encore pas mal de route !
Encore un peu de campagne et nous rejoignons Pise, puis l'autoroute pour rentrer en fin d'après-midi chez nous.Conclusion.
Une escapade courte mais agréable qui nous a permis de découvrir de nouveaux paysages.
La mer c'est moyennement mon "truc" je ne m'en cache pas. Si j'ai bien aimé la côte et le tour de l'Argentario j'ai préféré les 2 villages de Magliano et Scansano, authentiques et calmes et la campagne environnante.Volterra est une très jolie petite ville mais son aspect très (trop ?) touristique m'a quelque peu déplu.
Les photos ne sont pas forcément les images types des différents lieux, cela correspond plus à notre regard et ce qui nous a marqué.Pour aller plus loin doc en français (pas facile à trouver !) :
Afficher Maremma sur une carte plus grandeEn cliquant sur le lien Maremma ci-dessus accès à une carte plus grande avec détails de tous les repères.
7 commentaires
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Enfin la grosse chaleur est terminée, on peut de nouveau sortir !
Pour une sortie-journée direction le Val di Scalve où nous sommes déjà venus en juin à la diga di Gleno
(voir ici). Cette vallée des pré-alpes bergamasques est l'endroit le plus près pour nous (2 h de route) pour se retrouver dans un vrai cadre montagne.Le choix de la balade se fait sur Internet assez rapidement (détail important pour la suite !!) la veille au soir, il y a l'embarras du choix, de nombreux sentiers quadrillent la vallée. Nous optons pour le col de Corna Busa à partir du village de Schilpario, où nous ne sommes encore jamais allés.
Nous démarrons assez tard (10 h 45) mais comme il ne fait ni chaud, ni froid (17-18 °C) cela n'a pas trop d'importance. Le ciel est un peu couvert, il a plu les jours précédents, l'air est assez humide.
Départ à Schilpario (1126 m), le sentier 423 balisé comme tous les autres par le CAI (Club Alpino Italiano)
mène au Pizzo Camino en passant par le col de Corna Busa.
Le début de la montée se fait dans les bois, elle est raide et assez monotone
avec de nombreux passages cimentés (pour l'exploitation forestière)
Surprenante souche "décorée" de champignons. Pour l'échelle pointe de mon bâton en haut sur la gauche..
Une clairière s'ouvre et on arrive à la Malga di Voia (1559 m) Une malga est un alpage.
La montée se fait plus douce et on atteint la Malga Alta di Voia (1777 m).Les nuages restent accrochés aux sommets.
La fin de la montée se fait dans des les arbustes.J'ai lu très rapidement le topo de cette balade et j'ai confondu altitude de départ et dénivelé
pour le Pizzo Camino ,je pensais faire 600 m de D + en fait c'est presque 900 m !Sans grande condition physique ça ne pardonne pas je tire vraiment la langue
dans cette dernière partie de la montée......mais bon je l'ai fait !
Le col de Corna Busa (1940 m)
On distingue bien la différence de végétation entre l'ubac (versant Nord) d'où nous sommes arrivés recouvert d'arbres et l'adret (versant Sud) avec surtout de l'herbe et quelques résineux.
La Corna Busa (2007 m) Dans les dialectes du Nord de l'italie, un bus (se lit "oune buse") signifie trou,
on comprend donc bien le nom de cette curiosité géologique !
Après une pause pique-nique bien méritée nous montons sur le chemin de crêtequi mène à la Corna Busa. La Corna Busa se traverse complètement.
Coucou ! Il y a des trous partout !
Vue bien brumeuse sur le Val di Scalve
La Corna Busa vue de dessus, certains y voient un profil humain.....Derrière le Pizzo Camino reste dans les nuages.
Colchiques dans les prés c'est la fin de l'été !
Pour descendre nous optons pour un chemin qui permet de passer
par le petit domaine skiable de Schilpario. C'est toujours mieux de pouvoir faire une boucle.
Malga Epolo 1547 m
Chalet d'alpage abandonné mais pas depuis longtemps il y a encore des meubles dedans.
Le massif du Pizzo Camino (2491 m) qui se découvre enfin un peu.
Nous sommes descendus par cette piste de ski et tout en haut on distingue bien la Corna Busa.
Malga Epolo où arrive un TSD flambant neuf. A droite devant un TK très rustique au charme désuet.
Fin de la descente (moyennement intéressante) par la piste de ski. Le village de Schilpario en contrebas.
Le centre du village de Schilpario.Petite visite au syndicat d'initiative où nous discutons un peu avec le jeune qui assure la permanence.Le télésiège a tout juste 2 ans, mais la situation financière de la station est délicate l'avenir est incertain.....Je récupère une carte avec tous les sentiers de la province de Bergamo, et un livret fort complet sur le Val di Scalve.Les nombreuses possibilités de rando dans cette vallée nous donnent envie de revenir, en arrivant la veille au soir et en dormant à l'hôtel sur place on pourrait certainement plus en profiter.Juste en face de nous sur l'autre versant j'ai repéré un très joli vallon avec des cascades.Le village vit un peu du tourisme mais on perçoit aussi qu'il y a beaucoup d'habitants à l'année.Conclusion une belle journée à l'ambiance déjà presque automnale, presque pas de fleurs, pas de bétail, météo mitigée appréciable pour marcher mais laissant peu de vue sur les sommets.Peu de fréquentation nous avons croisés 3 petits groupes descendant du Pizzo Camino et une famille qui a fait le même tour que nous.D+ 881 et D - 881 mLe site de la vallée Val di Scalve (en italien)
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