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Pour notre 3 ème et dernière rando nous avons choisi un sommet la Becca d'Aran qui domine le domaine skiable de Valtournenche. Le départ se fait du lieu-dit Barmaz près du hameau de Cheneil qui se trouve sur le même versant que notre hôtel situé au hameau Bringaz.
Il fait très beau assez frais et enfin nous avons une vue dégagée sur les Grandes Murailles et le Cervin.
Zoom sur le sommet du Cervin (4478 m), ce sera le seul jour où nous le verrons aussi bien !
Toujours l'excellent balisage, la Becca d'Aran (2950m) est indiquée en 2 h 30 en catégorie EE.
Le très beau hameau de Cheneil, situé à 2008 m il n'est habité que l'été.
Voici notre but, la Becca d'Aran. Bien sûr au premier abord cela semble très imposant
mais nous allons contourner par la droite pour la gravir par une pente herbeuse.
Au début le sentier très agréable traverse des alpages en remontant le vallon de Cheneil.
Ensuite il va falloir remonter le long de la cascade visible au milieu de la photo.
Il y a déjà du monde devant, le sentier semble assez raide.
Impression largement confirmée quand nous nous retrouvons au milieu de la montée !
Une fois la cascade remontée, la pente se fait plus douce et nous arrivons à un carrefour. En allant tout droit le sentier 29 monte vers le Monte Roisetta (3334 m) au milieu sur la photo. Pour la Becca d'Aran on tourne à gauche sur le sentier 26.
La montée se fait sur une pente herbeuse, alternant passages raides et replats.
Le sommet est en vue ( il y a 2 personnes dessus), mais il reste encore pas mal à monter.Je progresse à mon rythme (lire pas très vite !) mais sans problème, en grignotant régulièrement
tel un écureuil (clin d'oeil à qui se reconnaîtra ....) des fruits secs !
Sous le sommet de nombreux edelweiss.
Et des asters, ces 2 fleurs se trouvent très souvent ensemble.
On arrive à un petit col avant la dernière partie de la montée qui se fait dans les rochers.
Cette dernière portion de sentier est assez aérienne, il faut bien regarder où on met les pieds, et parfois s'aider des mains. Les bâtons sont tenus dans une main car là ils ne servent pas à grand chose.
Photo purement "artistique", j'aime beaucoup cette prise de vue !
Sommmet ! C'est bête à dire mais gravir un sommet (quelqu'il soit modeste ou important) apporte une satisfaction qu'il est difficile à décrire !
Du sommet. On voit bien le chemin en dessous, et le petit col.
Vue panoramique sur tout le domaine skiable de Valtournenche.
Des nuages cachent les Grandes Murailles et le Cervin.
Vue sur le village de Valtournenche et tous ses hameaux, à gauche le lac de Moen.Plus haut en face le lac de Cignana et au premier plan le Mont Pancherot. (2614 m)
Pas trop de place au sommet, il convient de rester assis !
Derrière moi, la Cima di Fürggen (3492 m) et à droite le glacier de Valtournche, avec dans les nuages la Testa Grigia de Plateau Rosa (3490 m). Au milieu le caractéristique Bec Carré (3004 m)
Il est temps d'attaquer la descente, nous trouvons un endroit abrité du vent près du col pour pique-niquer.
Début de la descente le long du torrent. Pas trop envie de reprendre le sentier très raide....
Donc nous décidons d'emprunter le chemin 30 qui nous permet de descendre
sur l'autre versant du vallon, c'est plus long mais moins raide.
Nous traversons un très joli plateau avec quelques zones humides avec des linaigrettes
(plantes à plumeaux blanches)
Tout d'un coup j'aperçois un chamois, pas très loin de nous.
Nous avons largement le temps de l'observer, alors qu'il traverse tranquillement sous des barres rocheuses.
Regard dans le rétroviseur, la Becca d'Aran et la pente herbeuse qui mène au sommet.On remarque des ruines d'un chalet d'alpage (Lézan)
On peut voir le sentier que nous allons suivre le long de la pente.
Le vallon et le hameau de Cheneil vu de haut. A droite le sentier par lequel nous sommes montés.
Pour rejoindre Cheneil la descente finit en traversant des bois de mélèzes.En résumé, une très belle journée, des conditions idéales (beau temps et jamais chaud), un bon dénivelé (environ 1000 m) et la satisfaction d'avoir gravi un sommet. Seul (tout petit) bémol la présence de nuages qui couvrent progressivement les sommets environnants nous privant d'une partie du panorama !
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Dans nos projets de randos il y a le colle Teodulo, passage mythique et historique entre l'Italie et la Suisse.Après une soirée et une bonne partie de la nuit pluvieuses, le matin de ce 2 ème jour le soleil est de la partie et il a bien neigé. La météo n'annonce pas le beau temps pour toute la journée mais cela semble jouable donc nous montons en voiture à Breuil-Cervinia.
Nous empruntons le THP qui nous mène à Plan Maison à 2555 m,
cela nous épargne du dénivelé et permet de démarrer déjà assez haut.
10 h départ, notre but le colle del Teodulo est à gauche de la photo
Vue d'ensemble sur les sommets de gauche à droite : le Breithorn (4165 m),le Klein Matterhorn (3883 m),Testa Grigia/Plateau Rosa (3480 m), Gobba di Rollin (3900 m).
Partie de cache-cache avec les nuages....
Le Cervin (4478 m) ne daigne pas se montrer en entier.
Le début de la montée se fait par une piste (sentier 15 sur la carte)
pas très intéressante au milieu des alpages. A gauche le Chalet Etoile un restaurant d'altitude tenu par des suédois (!) où on mange très bien l'hiver . A gauche la Cima di Fürggen (3492 m)
Rapidement nous arrivons à la neige tombée la nuit précédente.
Les nuages arrivant par l'Ouest envahissent le ciel assez rapidement.
Mais pour l'instant les sommets restent dégagés.
Nous contournons les remontées que nous connaissons bien l'hiver.
L'été le service des pistes procède à des ajustements de terrassement des pistes,
la terre et les cailloux étant souvent déplacés par la fonte des neiges au printemps.
On voit une bonne partie du domaine skiable, avec de nombreux petits lacs.Il y a aussi de nombreuses "verrues" ruines d'anciennes remontées...
La dernière partie de la montée se présente devant nous à gauche du TSD Fornet,
elle est presque entièrement enneigée.
Le ciel prend des couleurs très bizarres...
Les nuages vont et viennent et il neigeotte un peu, des éclaircies permettent des vues assez esthétiques.Au milieu de la photo le Bec Carré.
Dans la dernière partie de la montée je suis devant, on ne voit pas très bien le sentier,
il faut faire la trace, il y a bien 20 cm de fraîche ! Luigi fatigue un peu, il faut dire qu'on est au dessus de 3000 m et cela se sent bien, le souffle est court.
Et voilà on est près au but, les pistes de ski d'été de Plateau Rosa apparaissent.
13 h Nous arrivons au refuge Teodulo (3316 m). NO PICNIC est affiché sur la terrasse,pour tout dire on n'a pas vraiment envie de pique-nique,il va rester au fond du sac et un plat chaud au refuge sera bienvenu !A l'intérieur beaucoup de monde,le gardien un peu dépassé,une assiette de pâtes et un café feront notre affaire, c'est pas donné !
Vision presque hivernale sur Testa Grigia/Plateau Rosa.
Après une bonne pause au refuge, nous le quittons, le temps ne s'améliore pas vraiment ...
Veste, capuche, gants il faut bien ça il ne fait pas bien chaud !
Il neige même assez fort par moments !
Plus bas nous retrouvons le groupe d'étudiants qui était au refuge.Tous sont équipés d'un marteau, accroché à la taille dans un étui, ce sont des géologues.
Accompagné d'un professeur italien, ils sont de plusieurs nationalités ça parle, anglais, allemand, italien......Ils font de nombreuses pauses pour observer les roches.
La descente dans la neige c'est fun ...!
Belle éclaircie et pause goûter à la chapelle Bontadini.
L'éclaircie se fait encore plus large et le sommet du Breithorn apparaît tel une meringue !!!!
Nous poursuivons notre descente, il fait moins froid et nous nous accordons une belle pauseà Plan Maison avant de prendre le THP par la dernière benne à 16 h 20.
Les gentianes pourpres aux alentours de Plan Maison.En résumé un belle journée où nous sommes passés de l'été à l'hiver en moins de 3 h de temps.Cela permet de rappeler qu'en montagne le temps peut changer trrrrès vite, il convient donc d'avoir de quoi se couvrir dans son sac (polaire, veste, chapeau/bonnet, gants)Une beau dénivelé (D+ 760 m) monté en 3 h ce qui compte-tenu de l'altitude est tout à fait honorable, on est pas habitués à marcher aussi haut.La montée se déroule dans un décor largement "pollué" par les remontées mais l'arrivée se fait dans une ambiance haute montagne absolument magique.Jour Suivant
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Nous voilà partis pour 4 jours en Val D'Aoste à Valtournenche pour découvrir cette vallée en été, en effet nous y sommes venus plusieurs fois mais toujours en hiver pour skier. C'est mon cadeau d'anniversaire de la part de Luigi, là il est sûr de me faire plaisir et il en profite aussi !
Les prévisions météo ne sont pas sensationnelles mais pas catastrophiques non plus, le temps peut changer très très vite en montagne, nous aurons l'occasion de le vérifier plusieurs fois. Et puis on prend le temps qui vient cela fait partie du jeu !
Nous logeons à l' hôtel TERSIVA où nous retrouvons l'accueil chaleureux de la famille Peisson.
Une "summer card" fournie par l'hôtel nous permet d'avoir 30% de réduction sur les remontées mécaniques, nous allons donc profiter de cet avantage.26-29/08/2013 Valtournenche Valle d'Aaosta AO Italie-jour 1
26-29/08/2013 Valtournenche Valle d'Aosta AO Italie jour 2 Colle del Teodulo
26-29/08/2013 Valtournenche Valle d'Aosta AO Italie jour 3 Becca d'Aran
26-29/08/2013 Valtournenche Valle d'Aosta AO Italie jour 4 plateau Rosa/Château de Fénis
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Pour le premier jour nous décidons de faire une mise en jambes par une boucle sur le domaine skiable de Valtournenche.
Le même endroit en hiver avec les pistes.
Avec une montée en télécabine nous "zappons" la montée dans les bois
et nous permet un départ depuis Salette à 2245 m. Il fait frais mais pas froid l'idéal pour marcher !
Nous optons pour une montée par le sentier 20 vers le Bec Carré,
les chemins sont tous numérotés et très bien balisés.
De plus les randonnées sont classées par type de difficulté. En général nous faisons des EE.
Nous remontons le long de la piste 7 pour atteindre assez rapidement le haut du TSF Motta.
Nous passons l'auberge "Chez Gabriel" (à gauche) et remontons la piste 5 le long du TSD Bec Carré.
Le caractéristique Bec Carré (3004 m) est en vue.
Enfin nous quittons la route pour une montée infiniment plus agréable par un sentier.
Il y a un saupoudrage sur le Monte Roisetta (3334 m), il a plu et neigé la veille.
Intersection nous laissons à gauche le sentier 21 et nous allons tout droit vers la gare d'arrivée du TSD
(au milieu de la photo, c'est le Colle inferiore Cime Bianche à 2896 m).
Une joubarbe jaune clair.
La même fleur en groupe.
La dernière partie de la montée est plus raide et le ciel se couvre rapidement.Je suis victime d'un gros "coup de barre". J'ai démarré un peu vite,
manque d'entraînement et coup de fringale aussi certainement.Ne jamais oublier, il faut boire avant d'avoir soif et manger avant d'avoir faim.Une pause avec une barre de céréales me permet de récupérer rapidement
et de poursuivre la montée jusqu'au col.
Rapide pause pique-nique à l'abri sous la gare du TSD. Petit aperçu de l'autre côté du col,c'est la partie la plus haute du domaine skiable qui permet de basculer sur le domaine de Cervinia
en empruntant le téléski.On ne s'attarde pas, c'est un col et ...comme en hiver l'endroit est venté, il fait 5 °C !Les gants se supportent tout à fait !
Nous décidons de redescendre par les pistes,
malgré le manque de neige on reconnaît très bien les lieux et le profil des pistes.
Le but est de rattraper le sentier 23, pour effectuer une boucle, qui en gros,
fait le tour du petit sommet herbeux que l'on voit sur la droite.
Nous sommes au Grand Collet à 2681 m sur le tracé de la très belle piste panoramique N°1.
C'est plus facile à descendre en ski qu'à pied !
Les pistes sont beaucoup travaillées et terrassées,
je les pensais plus "naturelles" ! (Pistes 6 à gauche et 1 à droite)
A part 2 employés des remontées croisés en haut nous n'avons rencontré personne sur notre parcours
mais observé de nombreuses marmottes, ici elles sont assez foncées souvent grises.
Fin de parcours nous passons près du chalet auberge Baracon (pas de jeu de mot nul SVP !!!),
passons une "forêt" de lances des canons à neige, pour rejoindre la gare de la TC à Salette. Bilan D+ (et D-) 650 m, 3 heures de marche sans forcer , pour un premier jour ça suffit ! Comme il est assez tôt (15 h) encore nous passons rapidement à l'hôtel,
puis descendons faire un tour dans le village.
La place de la mairie dite Place des Guides.La façade de la mairie est recouverte de plaques commémoratives à la gloire des guides de Valtournenche.
C'est une belle tranche de l'histoire de l'alpinisme qui est inscrite sur ces murs !
En face de la mairie l'église.
Autour de l'église le quartier de Cretaz où l'on trouve les maisons les plus anciennes du village.
Valtournenche est un vrai village, qui vit certes en grande partie du tourisme
mais n'a pas l'aspect d'une station.
Un peu plus bas une partie plus "moderne" avec l'école (au milieu en bois clair et colonnes de pierres) et le centre de congrès et sportif (toit gris et à droite) Juste le temps de remonter au hameau de Bringaz où se trouve notre hôtel, et la pluie commence à tomber, il va pleuvoir une bonne partie de la nuit et demain nous aurons une belle surprise....
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Au mois d'août, on ne part pas, car trop chaud, trop de monde et trop cher partout...mais cela n'empêche pas de faire une sortie "touristique" en journée, dans un rayon de 150/200 km autour de chez nous, il n'y a que l'embarras du choix.
Nous optons pour le Lago Maggiore (Lac Majeur), ce n'est pas trop loin et il devrait y faire moins chaud que chez nous. On y est allé mais il y a très longtemps (25 ans !) et Diane qui nous accompagne ne connaît pas.
Le lago Maggiore est d'un côté en Lombardie de l'autre en Piémont et son extrémité Nord (Locarno) se trouve en Suisse dans le canton italophone du Ticino (Tessin).
2 heures de route et nous voilà au bord du lac, qui est bordé de nombreuses propriétés avec de somptueux jardins. Nous arrivons à la petite ville de Stresa, point de départ pour rejoindre les Isole Borromee (ïles Borromées), but de notre sortie.
Ces îles sont au nombre de 3 : Isola Madre, Isola Bella, et Isola dei Pescatori (ou Isola Superiore).
Isola Madre et Isola Bella sont privées elles appartiennent toujours aux Borromeo, grande famille noble lombarde et se visitent.L'Isola dei Pescatori (île des pêcheurs) est un petit village autrefois de pêcheurs, aujourd'hui abritant de nombreux restaurants.
Plus d'infos sur les îles ici (en français !)Sur l'embarcadère on est vite abordé par des "rabatteurs" des différentes sociétés de bateaux assurant les liaisons vers les îles. On se laisse convaincre et nous voilà partis sur un petit bateau, service public saisonnier, 10 € par personne pour aller à Isola Bella et Isola dei Pescatori, c'est raisonnable, d'autant plus qu'il y a des bateaux toutes les 1/2 h, nous n'aurons pratiquement pas d'attente dans la journée.
C'est parti !
La bonne humeur est de rigueur !
On s'éloigne de Stresa, petite ville de villégiature depuis les débuts du tourisme (milieu XIX ème siècle)
Sur la rive su lac plusieurs hôtels très luxueux.
On contourne Isola Bella où nous irons plus tard, pour rejoindre I'Isola dei Pescatori,
à droite sur la photo (clocher).Vu l'heure (!) On fait rapidement le tour de l'île pour choisir où manger.
La Pescheria est un restaurant proposant des spécialités de poissons du lac, on va se régaler !
Antipasto del lago (Hors d'oeuvre du lac) un assortiment de poisson marinés pour Luigi.
Ravioli di pesce allo zafferano e gamberetti (Raviolis de poisson au safran et aux crevettes)
pour Diane et moi.
Nous refaisons tranquillement le tour de l'île, (c'est vite fait vu la taille !) qui bien que très touristique
mérite son nom comme l'atteste la présence de ces barques de pêcheurs.
Une ruelle dans l'île.
Le bord du lac n'est pas très soigné, nombreux débris et branchages de l'hiver.Au loin l'Isola Madre (à droite) et derrière la ville de Verbania.
L'Isola Madre abrite un palais et un jardin botanique.
Isola Bella est toute proche. Un petit îlot avec quelques arbres se trouve entre les 2 îles.
Le bateau est là on embarque ......
et en 5 mn on est déjà à Isola Bella.D'abord on visite le palais, très baroque, il n'est pas très chaleureux,
les pièces sont immenses et très hautes de plafond.
Le charme de ce bâtiment se trouve plus dans les nombreuses ouvertures donnant sur le lac.
Le "sous-sol" est constitué de curieuses "grottes", qui sont situées dans la partie Nord du palais pour accentuer encore plus l'effet fraîcheur pendant la saison estivale.
Enfilade de salles dans les "grottes" pavées de mosaïques en galets.
Sur cette grille de balcon on peut remarquer
il nodo borromeo (noeud borromée) symbole de la famille éponyme.
Mais le véritable clou de la viste se trouve dehors, les jardins d'une beauté époustouflante sont mondialement connus. Petit aperçu depuis les dernières salles de la visite du palais Humilitas La devise des Borromeo en massifs de fleurs
La région bénéficie d'un micro-climat qui permet de cultiver des plantes rares et/ou exotiques. Tout est extrêmement soigné et entretenu, on comprend mieux les 13 € du billet d'entrée !
Le centre des jardins avec ce mur très célèbre.
Quelques paons blancs sont en liberté dans les jardins,
ils recherchent l'ombre et continuent à se lisser les plumes.
Les photos parlent d'elles-mêmes, je vous laisse les admirer .........
La visite se termine par une serre où les plantes les plus fragiles sont abritées l'hiver.Pour finir la journée nous décidons de faire un petit détour en allant un peu plus loin sur la rive su lac en passant par Gravellona Toce (indication qu'on voit partout sur les autoroutes, en fait c'est le bout d'une autoroute qui se prolonge ensuite par la route nationale du Sempione (Simplon) pour ensuite longer le lac d'Orta.Ambiance complètement différente, lac assez sombre, localités touristiques mais plus modestes.Pour en savoir plus sur ce lac voir ici (en français)
Brève visite à Orta San Guilio, bourg médiéval.
Sur la place centrale le Palazzo della Communità (ancêtre de mairie) datant de 1582.
Au milieu du lac l'isola San Guilio qui abrite des bâtiments religieux.Voilà une belle journée très réussie grâce à la météo clémente mais jamais trop chaude (30 °C maxi dans l'après-midi). Certes il y avait du monde mais jamais la cohue, nous nous sommes garés (gratuitement) dans une rue de Stresa, nous n'avons attendu nulle part (bâteau, resto, visites) et pourtant c'était un dimanche en plein mois d'août. L'endroit est certainement très joli aussi au printemps.Certaines photos (de très bonne qualité) sont de Diane faites avec ........son téléphone portable, il me semblait hônnete de ma part de le préciser !!!!
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Pendant notre séjour à Tignes nous avons alterné petite randos/promenades et randos plus soutenues et ski d'été. Malgré quelques orages en fin d'après-midi le temps fut assez clément et nous ne nous sommes jamais vraiment mouillés. Un peu de chaleur en fin de séjour mais en altitude cela reste contenu (22 / 23 °c maxi à Tignes).
Retrouvez toutes nos randonnées de notre séjour sur cette carte.
Cliquez sur le lien bleu Tignes 2013 ci dessous pour agrandir la carte.
Afficher Tignes 2013 sur une carte plus grandeEt pour accéder aux reportages cliquez sur les liens ci-dessous :
14/07/2013 Col Pers Alpes Grées Savoie 73 France repère bleu
16/07/2013 Ski d'été Glacier de la-Grande Motte Tignes Savoie 73 France Epingle rouge
17/07/2013 Tour du Grand Huit Tignes Vanoise Savoie 73 France Repère violet
19/07/2013 Col de la Baillettaz depuis le Fornet Alpes Grées Savoie 73 France Repère turquoise
19-21/07/2013 avec Diane et Marica Tignes Savoie 73 Fance Repères jaune et violet
22/07/2013 Tignes Le Lac-Tignes les Boisses Savoie 73 France Repère fushia
23/07/2013 Ski d'été glacier de la Grande Motte Tignes Savoie 73 France Epingle rouge
24/07/2013 Sentier balcon Le Chargeur-La Davie Alpes Grées-Savoie 73 France rouge
25/07/2013 Col de Monseti en boucle Ste Foy-Tarentaise Alpes Grées Savoie 73 France Repère vert
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Dernière randonnée de notre séjour à Tignes en compagnie de nos amis Jacques et Marie-Noëlle.
Après concertation nous optons pour une randonnée de difficulté moyenne avec un dénivelé de 700 m sur un secteur un peu plus éloigné pour changer un peu des secteurs de Tignes et Val d'Isère que nous connaissons plus que bien les uns et les autres !A Sainte-Foy Tarentaise il faut prendre la direction du hameau de La Masure puis s'enfiler sur une petite route en direction de La Savonne (terminus de la route).
Après avoir garé les voitures au parking du lieu-dit Jean Giret (nous y sommes déjà venus l'an dernier pour une autre rando (voir ici) on passe le hameau de La Savonne puis on emprunte le sentier au départ horizontal en face de la petite usine électrique (au milieu en bas de la photo).Le temps est clair il ne fait ni chaud ni froid, et il n'y a pas de vent
des conditions idéales pour randonner en altitude.
Le chemin s'enfonce ensuite dans une agréable fôret de résineux assez aérée.
Pour ensuite déboucher sur une route dans le vallon de Mercuel.Cette route vient du hameau du Crot, autre départ possible, mais il faut ajouter 300 m de D +
dans une forêt sombre et assez humide, pas forcément très agréable.
On passe la chapelle Saint Roch.
Et on arrive à La Motte où se trouve un bâtiment historique.
Carabinieri reali (gendarmes du roi), cela doit dater d'avant l'unification de l'Italie (1860).La croix de Savoie est le blason de la maison de Savoie.
Juste derrière se trouve le refuge (privé) de l'Archeboc.En arrière plan on peut voir le col du Mont, autre rando possible dans ce secteur,
tous les ans une rencontre avec les habitants de la vallée italienne du Valgrisenche a lieu en juillet voir ici
Après la forêt, une logique de progression s'est mise en place, Jacques et Luigi devant,
Marie-Noëlle et moi.....un peu plus loin derrière !
Et voilà ce que l'on doit monter, le lac Noir et le col de Monséti se trouvent là en haut.
La montée est d'abord assez progressive dans les alpages.
Il faut traverser plusieurs torrents au débit assez conséquent, petite frayeur pour certains.....(nan pas moi !)
Toute la montée est particulièrement fleurie et odorante,
un vrai plaisir même si certaines portions de la montée sont assez raides !
On passe un lac sans nom sur un replat.A part une femme qui nous a doublés en montant à une vitesse impressionnante
nous n'avons rencontré personne sur ce sentier.
Pour enfin arriver au lac Noir à 2483 m pour la pause pique-nique.Beaucoup d'autres randonneurs montés par le vallon de la Sassière se reposent au bord du lac.En 2 semaines c'est le seul endroit (en altitude) où nous avons trouvé autant de monde !
Après une bonne pause nous repartons en direction du col de Monséti.En toile de fond le Mont Pourri 3779 m et le Mont Turia 3650 m
Regard dans le "rétroviseur", le lac plutôt sombre porte bien son nom,
une immense névé sur la face du Bec de l'Ane 3213 m lui donne un effet "arctique" !
Après juste 10 mn de marche le col de Monséti 2540 m est en vue.
La descente commence par une partie assez minérale et raide, la photo aplatit beaucoup !
Puis se prolonge de façon plus douce dans les alpages.
Belle vue sur le vallon de la Sassière.
La fin de la descente vers le vallon se fait dans une "forêt" de rhododendrons en fleurs
absolument magnifique et assez inhabituelle pour la saison,
cela démontre le retard de la végétation dû au printemps très maussade, froid et prolongé en altitude.
Adossé à des rochers le refuge du Ruitor. (voir ici )
On passe le hameau de la Sassière en grande partie écroulé,nous y retrouvons la dame qui montait si vite, elle habite la seule maison en état.
La fin de la descente est commune à celle de la rando effectuée l'an dernier et nous arrivons juste au dessus des chalets de la Savonne, le tour est bouclé !En conclusion une rando fort agréable, en excellente compagnie. Au départ nous n'avions pas prévu la boucle mais elle s'est devenue logique et évidente. On peut la faire dans l'autre sens bien sûr, mais je pense que la montée par le vallon de Mercuel est plus agréable (alpage tout le long) et moins fréquentée.
Et la journée n'est pas finie...pour finir en beauté, juste le temps de remonter à Tignes prendre une douche et faire quelques courses et on se retrouve ensuite à La Rosière pour le très convivial barbecue du forum haute-tarentaise.net !!!
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Après un début de matinée assez gris, le ciel semble se découvrir un peu donc nous décidons de partir pour une petite rando pas trop éloignée, le repli en cas de pluie sera facile et rapide et d'autre part nous avons une rando plus conséquente prévue le lendemain, donc on ne veut pas être trop fatigués ! Direction le vallon de la Grande Sassière qui est toujours dans la commune de Tignes, il faut dire qu'elle est immense ! Le sentier balcon comme son nom l'indique traverse les alpages à altitude plus ou moins constante, c'est un très beau point de vue sur le lac du Chevril (barrage de Tignes) et le versant gauche de la vallée.
Le plafond est quand même assez bas sur la Grande Sassière.
La tarine, la plus belle vache du monde (allez on est juste un peu chauvin ...!)
Et ses copines Abondance ne sont pas mal non plus avec leurs "lunettes" !
Alpage fleuri + vaches Tarines et Abondance = le Beaufortun des meilleurs fromages des Alpes qui concentre tous les arômes et parfums de ces fleurs !
C'est parti au milieu des fleurs, dommage qu'on ne puisse pas restituer l'odeur....
Vue d'ensemble sur la cuvette de Tignes.
Le barrage et le hameau des Boisses où nous étions il y a 2 jours voir ici
Le lac du Chevril, la retenue du barrage de Tignes.Cet hiver elle a été entièrement vidée pour permettre des travaux sur les vannes, ce chantier doit se poursuivre sur 3 ans donc le lac sera encore vidé en 2014 et en 2015.Par contre les vidanges décennales (aux années rondes, 1990, 2000, 2010) pour inspection du barrage
ne se font plus, un robot sous-marin assure l'inspection.
Le Dôme de la Sache et le Mont Pourri restent "coiffés".
Nous arrivons à La Davie, inutile de descendre jusqu'aux chalets d'alpage,
la vue est identique et c'est sans grand intérêt, donc nous faisons demi tour.
Tignes Les Boisses euh... pardon les Boisses c'est le hameau en haut, car maintenant
il faut dire Tignes 1800 pour le nouveau quartier en construction près de l'église.
C'est l'heure de la traite, pour ne pas déranger les vaches nous contournons leur enclos.
Ce qui nous permet de découvrir ce magnifique Lys Martagon.
Le temps s'est bien arrangé et au fond du vallon on voit la Tsanteleina bien dégagée.Voilà petite balade de 3 h environ (avec pause pique-nique d'1/2 h) D + et D - 200 m environ car il y a quand même quelques montées et descentes pour contourner des barres rocheuses.
Secteur calme peu fréquenté avec vue panoramique, ce sentier balcon est une rando facile idéale en journée détente ou avec des enfants.
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Le beau temps étant revenu après 2 jours orageux, nous décidons de nous accorder de nouveau une matinée de ski sur le glacier.
Il fait très clair mais légèrement brumeux, pas froid du tout températures positives.Au loin le massif du Mont-Blanc (versant italien) presque en entier.
Un paysage grandiose dont on ne se lasse jamais, Grande Motte, Grande Casse et Epena.
La crevasse de la piste Descente s'est élargie en une semaine.
La piste "Descente".Sur cette photo on peut remarquer la silhouette du sommet de la Grande Motte
qui stylisée est le logo de la station de Tignes. Le ciel est vraiment très foncé comme sur cette photo,
il ne faut pas oublier que l'on est à plus de 3000 m d'altitude.
Vue panoramique sur tous les sommets de la Maurienne. (Alpes Grées sud)
De la piste de la Leisse, en dessous le col de la Leisse en grande partie enneigé.On peut voir tout au fond à gauche le sommet du Grand Paradis en Italie.
La piste de la Leisse est encore bien praticable si on prend soin d'éviter la zone de glace vive sur le bas,
du coup on l'a faite plusieurs fois de suite avant qu'elle ne ferme à 11 h.
Fréquentation moindre par rapport à la semaine dernière, moins de cours, de stage de compet,
même sur le snow-park il semble y avoir moins de monde.A midi plus personne sur les pistes, il faut dire que la neige devient de plus en plus lourde,
en dehors des pistes la neige brille, ça fond !A noter que pour la première fois la station de Tignes a décidé de fermer le domaine d'été plus tôt
(le 4 août) que les autres années pour préserver le glacier, ce qui est à mon avis un très bon choix. Et voilà fini le ski rendez-vous début décembre, ou avant en cas de chutes de neige miraculeusement précoces !!!!
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Le temps est franchement à l'orage donc il faut trouver une petite balade sans s'éloigner. Le sentier qui mène de Tignes le lac au hameau des Boisses est une bonne option. Tout en descente mais avec un peu de distance, ce sentier permet d'avoir une vue différente sur la route de Tignes et ses nombreux aménagements. Par beau temps c'est aussi une balade très panoramique.
Le parcours sur Google Maps, dessin fait par Nicolas Bouchaud sur le forum Haute Tarentaise.net
Vous pouvez retrouvez son reportage de cette randonnée ici
On part depuis Tignes le Lac derrière le très résidentiel quartier des Almes.
L'orage est derrière la Grande Motte.Le sentier est asssez horizontal au début avec quelques passages un peu escarpés.
Il ne fait pas vraiment meilleur de l'autre côté !!!!Pas un seul arbre qui pousse droit.....
Il faut dire que la zone est très avalancheuse d'où les nombreuses barrières paravalancheset galeries sur la route.
Après un asssez longue traversée dans les alpages on entre dans la fôret.
Le lac du Chevril (Barrage de Tignes) on peut remarquer à gauche un léger lâcher d'eau
depuis la Revirette.
Dans les bois nous trouvons des lys Martagon fleuris.Avec le printemps maussade les fleurs ont environ 15 jours de retard.
Arrivée aux Boisses. Depuis que la route principale n'y passe plus,
ce hameau est devenu bien calme et a certainement pris de la valeur.
Il y a une petite chapelle dont je ne connaissais pas l'existence,
complètement cachée au milieu des maisons, on ne la voyait pas du tout depuis la route.Il tombe quelques rares gouttes, ambiance humide y comris sur l'objectif de l'APN
d'où ce flou artistique bien involontaire !
Les maisons les plus anciennes sont pour la plupart restaurées de façon intelligente et harmonieuse.La balade se finit à Tignes 1800 nouvelle appelation du nouveau quartier situé au niveau du barrage. Un complexe immobilier de luxe en construction a envahi la place devant l'église, on peut trouver cela discutable ......
Nous revenons à Tignes par la navette (horaire bien étudié à l'avance !) En conclusion, unebalade facile et agréable par beau temps très panoramique, à noter nous n'avons croisé que 3 personnes. D'une façon générale je trouve qu'il y a vraiment peu de monde qui fait de la rando.
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